Chaque comprimé vert à jaune, rond, légèrement biconvexe, portant l'inscription « CIPRO » sur une face, contient 500 mg de ciprofloxacine et 25 mg de chlorhydrate de lévomépromazine. Classe pharmacothérapeutique : Antibiotique de la famille des quinolones - code ATC : J01AX03.
Quand ce médicament doit-il être utilisé ?
Ce médicament doit être utilisé dès que possible après ouverture de la fiole.
Après ouverture du flacon :
Quelques cas de réactions d'hypersensibilité ont été rapportés chez les patients recevant ce médicament en raison de sa nature de médicament à longue demi-vie. Les effets indésirables incluent :
Ces réactions peuvent se manifester par une éruption cutanée généralisée, une faiblesse musculaire, une fièvre et des troubles de la respiration. Si ces symptômes surviennent, le patient doit arrêter de prendre ce médicament et consulter un médecin.
Après la prise de ce médicament :
Après que la prise de ce médicament a été arrêtée :
Les antibiotiques peuvent causer des effets indésirables, y compris :
Si vous ressentez l'un de ces effets secondaires ou d'autres effets indésirables, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien.
Ce que contient CIPRO 500 mg, comprimé pelliculéLes substances actives sont :
Qu'est-ce que CIPRO 500 mg, comprimé pelliculé et contenu de l'emballage extérieurCe médicament se présente sous forme de comprimé pelliculé.
Boîte de 1, 3, 6, 12, 24, 30, 60, 96, 100, 108, 120, 144, 152, 156, 164, 200, 236, 248, 256, 260, 262, 266, 272, 276, 284, 288, 292, 296, 298, 302, 314, 316, 328, 336, 338, 342, 352, 362, 374, 376, 380, 384, 386, 392, 398, 400, 410, 416, 420, 426, 432, 436, 440, 444, 446, 452, 456, 460, 468, 472, 478, 486, 490, 494, 500, 506, 514, 520, 526, 528, 534, 542, 546, 552, 560.
Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.
Titulaire de l'autorisation de mise sur le marché
BAYER FRANCE79-87 RUE DU FAUBOURG DU METRO
75011 PARIS
ou
ANSM - SMR : Après l'autorisation de mise sur le marché, les informations sur le SMR ont été recueillies dans le cadre d'une analyse comparative de l'ensemble des spécialités disponibles, afin d'évaluer l'intérêt du produit, par rapport aux autres antibiotiques disponibles et leur intérêt dans la prise en charge de la fièvre chez l'enfant.
La spécialité CIPROFLOXACINE BAYER 500 mg/25 mg, comprimé pelliculé est un antibiotique de la famille des quinolones, indiqué dans le traitement des infections respiratoires et de la pneumonie chez l'enfant et l'adulte ayant une forme bactérienne ou à germes résistants.
CIPROFLOXACINE BAYER 500 mg/25 mg, comprimé pelliculé contient du chlorhydrate de lévomépromazine.
Ciprofloxacine : une efficacité exceptionnelle
Plusieurs études cliniques ont montré que CIPROFLOXACINE BAYER 500 mg/25 mg, comprimé pelliculé permet d'obtenir une diminution de la bactériémie et/ou de la fièvre, une amélioration de l'état respiratoire et une diminution de la durée du traitement antibiotique en cas d'infection respiratoire.
Les données de pharmacovigilance montrent que CIPROFLOXACINE BAYER 500 mg/25 mg, comprimé pelliculé est associé à un risque de réactions indésirables sévères telles que des réactions anaphylactiques et une atteinte hépatique. Ce risque de réactions indésirables graves est plus élevé chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère, et plus particulièrement chez ceux ayant des antécédents d'hépatite ou de maladie du foie.
Les données suggèrent que CIPROFLOXACINE BAYER 500 mg/25 mg, comprimé pelliculé pourrait ne pas être adapté au traitement d'infections compliquées chez les patients insuffisants rénaux.
CIPROFLOXACINE BAYER 500 mg/25 mg, comprimé pelliculé est un médicament dont l'utilisation est réservée à l'adulte.
Le traitement doit être initié et surveillé par un médecin expérimenté dans le traitement de la fièvre chez l'enfant.
Ce médicament est généralement bien toléré. Dans de rares cas, des réactions d'hypersensibilité (telles que des réactions allergiques, des réactions anaphylactiques et une atteinte hépatique) peuvent survenir.
Si vous remarquez un quelconque changement dans votre vision pendant la prise de ce médicament, contactez votre médecin immédiatement.
Les patients et les professionnels de santé doivent être informés que la prise de CIPROFLOXACINE BAYER 500 mg/25 mg, comprimé pelliculé peut entrainer des symptômes d'hypersensibilité tels que fièvre, inflammation de la peau et des muqueuses, urticaire, ganglions enflés, éruption cutanée, démangeaisons, gonflement des muqueuses, douleur thoracique, troubles cardiaques, crise d'asthme, éruption cutanée et urticaire.
Le traitement doit être arrêté dès l'apparition des symptômes décrits ci-dessus et le patient doit être suivi étroitement par un médecin.
Dans un communiqué, l'Agence du médicament ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) a publié des données d'alerte et de consommation d'énergie dans le cadre du traitement de la Covid-19 pour la mise en place d'un nouveau traitement contre la grippe. Le nouveau traitement a été mis en place en France, et le médicament est à l'origine d'une augmentation des cas de Covid-19. Il a été mis en cause avec la suite des mesures préliminaires d'urgence de la Commission européenne pour assurer un usage continue de l'antibiotique dans le pays.
Le nouveau traitement est désormais disponible, et en Belgique, le médicament est devenu en ligne. Le médicament a été pris par les pharmaciens dans un contexte d'urgence pour éviter une prescription erronée, avec la possibilité de demander l'avis de l'Agence du médicament. Les professionnels de santé sont donc à disposition pour toutes les questions et questions relatives aux médicaments, et à un certain nombre de professionnels de santé. Les professionnels de santé sont ainsi suivis pour leur réalisation à chaque patient.
L'ANSM a répondu à l'article 9 de la Fédération nationale de pharmacovigilance (FNPAV), qui explique qu'un cas de Covid-19, qui n'a pas été traité par le médicament, était évitable. Ce cas concerne une personne âgée de 65 ans qui a été traitée avec de l'amoxicilline 1 g/24 heures, par un antibiotique (amoxicilline) pendant trois jours. Ce cas concerne l'enfant de 24 ans. Le traitement a été mis en place par la Commission européenne pour assurer un usage continue de l'antibiotique. Le médicament est à l'origine d'une augmentation des cas de Covid-19, et cette augmentation est d'environ 1,5 million de personnes par an.
Cette augmentation est à l'origine d'une augmentation des cas de Covid-19 et de l'urgence de la Commission européenne pour assurer un usage continue de l'antibiotique dans le pays, et le nouveau traitement est à l'origine d'une augmentation de 1,8 million de personnes par an. Cette augmentation de cas est d'environ 1 million de personnes dans le monde.
L'ANSM a régulièrement répondu à l'article 9 de la Fédération nationale de pharmacovigilance, qui explique qu'un cas de Covid-19, qui n'a pas été traité par le médicament, était évitable. Ce cas concerne une personne âgée de 65 ans qui a été traitée avec de l'amoxicilline 1 g/24 heures, par un antibiotique (amoxicilline) pendant trois jours. Ce cas concerne l'enfant de 24 ans. L'ANSM a répondu à l'article 9 de la Fédération nationale de pharmacovigilance (FNPAV), qui explique qu'un cas de Covid-19, qui n'a pas été traité par le médicament, était évitable. Cette augmentation de cas est d'environ 1 million de personnes dans le monde.
Le 30 octobre 2011, l'Autorité de la concurrence rend publique une ordonnance dans le cadre de l'affaire dite de la « carte restaurant ».
Dans ce dossier, l'Autorité de la concurrence avait en effet enquêté sur les prix des cartes de restaurant à Paris et dans d'autres villes françaises entre 1995 et 2005. Au terme de l'enquête, elle avait conclu à une « pratique concertée entre les restaurateurs » et avait constaté des pratiques de prix anormalement bas pour ces cartes de restaurant.
Après avoir mis fin à ces pratiques, l'Autorité de la concurrence a été sanctionnée en 2013 à hauteur de 10,3 millions d'euros.
Le 13 septembre 2018, l'Autorité de la concurrence a transmis à la justice les dossiers de 26 restaurants parisiens et de 15 autres restaurants situés en Ile-de-France. Il s'agit de la plus grande sanction jamais prononcée par l'Autorité de la concurrence pour des pratiques de prix anormalement bas dans la distribution alimentaire en France.
« Cette décision est d'autant plus importante qu'elle met en lumière des pratiques mises en oeuvre dans le cadre d'une entente qui se caractérisait par un partage des clients entre restaurants participant à l'entente ainsi qu'une restriction des choix des clients, et ce, dans un secteur de la restauration qui ne comporte pas d'établissement isolé », explique le communiqué de presse.
En 1995, une première condamnation a été prononcée par l'Autorité de la concurrence.
Pour mémoire, le 22 mai 1995, l'Autorité de la concurrence avait sanctionné la chaîne de restaurants française « Le Bistro de Paris », qui s'était affranchie des règles en matière de prix dans la distribution alimentaire en France. La chaîne avait alors été condamnée à une amende de 20 millions de francs (3,2 millions d'euros) et à retirer 240 000 plats des comptoirs de ses restaurants parisiens en raison d'un prix anormalement bas.
Cette décision a été l'occasion pour l'Autorité de la concurrence de se pencher sur les pratiques des autres chaînes de restaurants. Après enquête, l'Autorité avait conclu à l'existence d'une entente entre les chaînes de restauration participant à l'entente qui consistait à pratiquer des prix anormalement bas pour les cartes de restaurant.
« Cette entente portait sur les prix des cartes de restaurant pour les produits frais, notamment les produits de la mer », précise l'Autorité de la concurrence.
La chaîne « Le Bistro de Paris » a été condamnée à 20 millions de francs (3,2 millions d'euros) et à retirer 240 000 plats des comptoirs des restaurants parisiens de ses établissements.
Pour rappel, le 13 septembre 2018, l'Autorité de la concurrence a mis en place un dispositif de contrôle pour vérifier la mise en oeuvre des sanctions prononcées à l'encontre de 26 restaurateurs parisiens et de 15 restaurants situés en Ile-de-France. Il s'agissait de tester la réalité et l'efficacité des sanctions prononcées à l'encontre de ces restaurateurs. Ce dispositif a fait l'objet de 47 contrôles dans le cadre de ce contrôle. Les résultats ont été positifs pour la plupart des restaurants visités. La plupart des mesures prises par le contrôleur ont ainsi été appliquées et les restaurants contrôlés ont bénéficié d'un soutien financier de la part de la DGCCRF et de la DDPP.
« Le secteur de la restauration est en crise et la hausse des prix des matières premières et de l'énergie a fortement pesé sur les prix des produits de la mer », a indiqué la préfecture de Paris dans un communiqué de presse.
En 2018, le secteur de la restauration représentait 46 800 établissements en France métropolitaine et 46 000 en Ile-de-France, avec 515 000 salariés dans la restauration.
La préfecture de Paris a indiqué qu'elle était également intervenue dans ce dossier et avait « engagé des mesures de soutien financier à plusieurs restaurants parisiens en difficulté ».
En 1995, la chaîne de restauration française « Le Bistro de Paris » avait mis en place un dispositif permettant aux clients de ses restaurants parisiens de s'inscrire pour recevoir par mail leurs menus.
« Les restaurants parisiens de cette chaîne de restauration ont mis en place un dispositif permettant à leurs clients de s'inscrire pour recevoir par mail leurs menus et de bénéficier de remises à valoir sur les menus », indiquait à l'époque la préfecture de Paris.
« Ce dispositif permettait aux clients parisiens de s'inscrire pour recevoir leurs menus par e-mail. Les restaurants parisiens de cette chaîne de restauration ont mis en place un dispositif permettant à leurs clients de s'inscrire pour recevoir par mail leurs menus et de bénéficier de remises à valoir sur les menus ».
Le dispositif a ensuite été dénoncé par une association de consommateurs qui a saisi la justice en 2000. La chaîne de restauration avait alors été condamnée à verser une amende de 20 millions de francs (3,2 millions d'euros) et à retirer des comptoirs des restaurants parisiens de ses établissements 240 000 plats de poisson et de fruits de mer impropres à la consommation à la suite de la découverte de taux anormalement bas de ces produits dans ses restaurants.
Cependant, l'Autorité de la concurrence a estimé que cette amende de 20 millions de francs (3,2 millions d'euros) ne permettait pas de prendre en compte tous les manquements qui avaient été commis par la chaîne de restauration et a condamné celle-ci à payer 2,5 millions d'euros d'amende.
En 1997, « La Bistronomie », une autre chaîne de restauration française « a mis en place un système de ventes de plats chauds par correspondance ».
« Dans le cadre de cette activité, les établissements de restauration parisiens de cette chaîne ont mis en place un système de ventes de plats chauds par correspondance permettant à leurs clients de bénéficier de remises à valoir sur les plats chauds. Ce système a notamment permis à « La Bistronomie » de proposer des tarifs attractifs aux clients qui s'étaient inscrits sur son site. Ce système n'a pas permis à cette chaîne de restauration, dont la taille restreinte ne lui permettait pas de bénéficier d'une clientèle suffisante, de se faire connaître auprès de la clientèle parisienne. Le prix des plats chauds vendus par cette chaîne était bien inférieur à celui de la concurrence », indiquait à l'époque l'Autorité de la concurrence dans son rapport.
En 2001, la chaîne de restauration française « La Petite Auberge » a également mis en place un système de ventes de plats chauds par correspondance.
« Les établissements de restauration parisiens de cette chaîne de restauration ont mis en place un système de ventes de plats chauds par correspondance permettant à leurs clients de bénéficier de remises à valoir sur les plats chauds. Ce système a notamment permis à « La Petite Auberge » de proposer des tarifs attractifs aux clients qui s'étaient inscrits sur son site. Ce système n'a pas permis à cette chaîne de restauration, dont la taille restreinte ne lui permettait pas de bénéficier d'une clientèle suffisante, de se faire connaître auprès de la clientèle parisienne », expliquait également l'Autorité de la concurrence dans son rapport. Ces deux chaînes de restauration ont également mis en place des dispositifs leur permettant de s'affranchir de la loi applicable au sein de leurs établissements de restauration parisiens.
« La petite Auberge » a notamment mis en place des systèmes permettant à ses clients de payer des « repas chauds » à emporter à Paris, tout en bénéficiant d'une remise de 50 % sur le prix affiché à Paris. « La petite Auberge » a également mis en place un système permettant à ses clients de se faire livrer par correspondance à Paris des plats chauds dont le prix affiché est réduit de moitié pour ceux qui ont passé commande en ligne », indiquait également l'Autorité de la concurrence.
Cette dernière a également conclu que « la petite Auberge » avait mis en place des systèmes lui permettant de s'affranchir de la loi applicable au sein de ses établissements de restauration parisiens.
Enfin, le 17 juin 2011, la chaîne de restauration française « Le Relais de Venise » a mis en place un système de ventes de plats chauds par correspondance en partenariat avec « La Bistronomie ».
« Les restaurants parisiens de cette chaîne de restauration ont mis en place un système de ventes de plats chauds par correspondance permettant à leurs clients de bénéficier de remises à valoir sur les plats chauds. Ce système a notamment permis à « Le Relais de Venise » de proposer des tarifs attractifs aux clients qui s'étaient inscrits sur son site. Ce système n'a pas permis à cette chaîne de restauration, dont la taille restreinte ne lui permettait pas de bénéficier d'une clientèle suffisante, de se faire connaître auprès de la clientèle parisienne », indiquait l'Autorité de la concurrence dans son rapport.
La chaîne « Le Relais de Venise » a mis en place un système de ventes de plats chauds par correspondance en partenariat avec « La Bistronomie ».
74 Rue Du Maréchal Foch 57700 HAYANGE
03 82 85 73 73